Y en franchute, nada menos, un fragmento publicado en el número 22 de la revista de literatura belga Le Fram, gracias a la buena voluntad de mi amigo Serge Delaive.
La traducción es de la casa, con la inestimable ayuda de Stephane Labro, y suena más o menos así: "Et puis toute une théorie vague sur le dépouillement, et le vrai, et qu’il y a trop de tout, et qu’un seul peintre, un seul tableau, une seule page écrite, devrait suffir pour la vie entière. Il passe toutes ses journées à les feuilleter, pour voir lequel il sacrifiera demain. Il délibère même en rêve. C’est sa nouvelle occupation visible. L’autre, renforcer les soudures du noyau qui passe de bouche en bouche sans s’ouvrir, le fruit de ce qu’ils taisent, l’enfouir loin du regard de Ma."
Au revoir!